LWS Affiliation

Apprendre les accords barres dynamique initie au f

Apprendre les accords barres dynamique initie au f

**Et si votre prochaine pause café devenait une leçon de guitare ?**

Imaginez : il est 18h30, vous rentrez du travail, le métro était bondé, et votre seul réconfort est ce vieux café serré que vous sirotez en regardant par la fenêtre. Soudain, une mélodie traîne depuis l’appartement voisin – des notes cristallines, un rythme dansant, comme une valse jouée *à la cool*. Vous reconnaissez *"La Javanaise"* de Gainsbourg, mais cette fois, c’est différent : les accords résonnent avec une profondeur nouvelle, comme si chaque corde racontait une histoire. Votre voisin, un certain Marc, a visiblement craqué le code des **accords barrés dynamiques**… et ça change tout.

Pourtant, Marc n’est pas un virtuose. Il y a six mois, il peignait encore des murs pour gagner sa vie et grattait trois accords basiques sur sa guitare dusty, posée près du radiateur. Son déclic ? Un dimanche pluvieux à Paris, où il a décidé de transformer son ennui en défi : *"Et si je jouais ‘Ne me quitte pas’ comme un pro, juste pour le fun ?"* Premier obstacle : les accords barrés, ces monstres qui font mal aux doigts et sonnent comme une casserole. Mais au lieu de s’acharner bêtement, il a **découpé l’apprentissage en micro-étapes ludiques**. D’abord, il a dompté le *F majeur* (celui qui fait fuir les débutants) en le jouant **comme un étau qui se desserre** : index bien à plat, pression progressive, et *hop* – un son clair ! Puis, il a enchaîné avec un arpège fingerpicking ultra-simple (pouce sur la 6ème corde, index sur la 3ème, majeur sur la 2ème), comme s’il caressait les cordes au lieu de les frapper. Résultat ? En trois semaines, son *"Ne me quitte pas"* avait une âme – et ses potes du bar du coin lui réclamaient des bis.

Le secret ? **Associer la technique à un rituel plaisir**. Marc a collé un post-it sur son frigo : *"10 min d’accords barrés = 1 bière bien méritée"*. Il a aussi piqué une astuce à un vieux bluesman croisé en festival : pour éviter la frustration, **jouer les accords barrés "à moitié"** au début (en zappant une ou deux cordes) pour garder le moral. Et surtout, il a détourné des moments du quotidien : attendre le bus ? Il visualisait la position du *B mineur* sur son genou. Un apéro trop long ? Il grattait des arpèges sur la table en bois (oui, ça marche, et ça énerve les voisins… mais bon). Aujourd’hui, son répertoire va de *Bella Ciao* (version fingerpicking qui déchire) à des riffs de Noir Désir – et sa guitare a quitté le radiateur pour trôner sur le canapé.

**Alors, prêt à transformer votre routine en scène perso ?** Commencez par un accord barré "facile" (le *Am en position barrée*, 5ème case) et un motif fingerpicking de quatre notes – comme si vous tapiez un code secret sur un clavier. Ajoutez-y une chanson qui vous fait vibrer (*"Le Sud" de Nino Ferrer* marche à tous les coups), et laissez vos doigts tricher, bafouiller, recommencer. L’important ? Que votre guitare devienne **votre complice du quotidien**, pas un pensum. Et qui sait ? Dans six mois, ce sera peut-être *vous* que le voisin écoutera, un café à la main, en se disant : *"Mais comment il fait, ce petit génie ?"*

👉 **Votre premier défi (si vous l’acceptez)** : Ce soir, jouez le couplet de *"La Bohème"* de Ferrat **uniquement avec des accords barrés simplifiés** (même si ça sonne faux). Chronométrez-vous, rigolez, et partagez votre "chef-d’œuvre" à un pote. Parce que la guitare, c’est comme le vélo : on tombe, on rit, et un jour, on dévale la pente sans les mains. *Allez, à vos médiators !* 🎸


🔗 À découvrir également :


🔗 Lire l'article original

LWS Affiliation