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Avis sur la externe purification pendant une médit

Avis sur la externe purification pendant une médit

**Et si votre stress du métro pouvait s’envoler… littéralement ?**

Imaginez : 8h30, quai de la ligne 13 à Paris, une rame bondée, des regards fuyants et cette odeur de transpiration mêlée à l’anxiété collective. Votre épaule frôle celle d’un inconnu qui soupire bruyamment, et soudain, une bouffée de colère monte—*pourquoi lui, pourquoi maintenant ?* Vous fermez les yeux une seconde, et là… vous *voyez* cette énergie noire, collante comme du goudron, quitter votre corps pour se dissoudre dans l’air. À la place, une lumière dorée, légère comme une brise d’été, vous enveloppe. Farfelu ? Pas pour les adeptes de la **purification externe en méditation**, une technique qui transforme les tracas du quotidien en exercice de libération.

Pour les uns, c’est une **douche énergétique** après une journée toxique. Prenez Sophie, 34 ans, cadre dans une start-up lyonnaise : *"Chaque soir, je visualise mes tensions—les mails agressifs, les réunions interminables—s’échapper de mes mains sous forme de fumée grise. Je les remplace par une lumière bleue, comme l’eau de la Méditerranée. Résultat ? Je dors mieux, et mon mari dit que je râle moins en rentrant !"* Les neurosciences commencent à explorer ce phénomène : en focalisant l’esprit sur des images apaisantes, on active le système nerveux parasympathique, réduisant cortisol et tension artérielle. D’autres, comme Thomas, professeur de yoga à Bordeaux, y voient un **nettoyage karmique** : *"Les énergies stagnantes, c’est comme les miettes sous un canapé—ça s’accumule sans qu’on s’en rende compte. La purification externe, c’est passer l’aspirateur en conscience."*

Pourtant, la méthode divise. *"C’est du placebo pour bobos"* lance Malik, étudiant en psycho à Lille, qui préfère la méditation Vipassana, *"sans fioritures"*. Effectivement, visualiser des flux d’énergie demande de l’entraînement—un peu comme essayer de dessiner un chat les yeux fermés au début. Et puis, il y a les sceptiques : *"Si je could voir mes problèmes s’envoler, je les aurais déjà envoyés en vacances à Bali !"* plaisante Amélie, infirmière en Ehpad. Le piège ? Croire que la purification externe suffit à régler les conflits réels. *"Ça ne remplace pas une thérapie ou une bonne discussion avec son N+1"* rappelle la psychologue Claire Moreau. **L’astuce** ? L’utiliser comme un **sas de décompression**—par exemple, avant d’affronter le dossier urgent ou la belle-mère à Noël.

**Alors, prêt à essayer ?** Ce soir, avant de dormir, fermez les yeux et imaginez vos soucis du jour (le collègue passif-agressif, la facture EDF, la panne de machine à laver) s’échapper sous forme de bulles de savon qui éclatent une à une. Remplacez-les par une couleur qui vous apaise—le vert d’une forêt, le rose d’un coucher de soleil. Pas besoin d’y croire dur comme fer : comme un étirement après une longue journée assise, c’est l’*intention* qui compte. Et si ça ne marche pas du premier coup ? Normal. Même les moines bouddhistes ont commencé par se perdre dans leurs pensées. **Le vrai secret ? Recommencer.** 🌿

*(Et vous, quelle énergie aimeriez-vous évacuer aujourd’hui ?)*


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