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Envie divine juste toi et moi

Envie divine juste toi et moi

**Et si le paradis était un regard, un frisson, un instant volé ?**

Léa n’y croyait plus. Après des mois de routine épuisante—métro-boulot-dodo et des soirées passées devant des séries qu’elle ne regardait même plus—elle avait oublié ce que *désirer* voulait vraiment dire. Jusqu’à ce soir-là, où, par hasard, elle tombe sur une phrase en ligne : *« Envie divine, juste toi et moi. »* Quatre mots, et soudain, son cœur bat plus vite. Pas pour une promesse creuse, mais pour l’idée d’un moment *à elle*, où le temps s’arrêterait, où chaque détail serait une caresse pour ses sens. Elle clique. Et là, tout bascule.

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Imagine un espace où la lumière n’est ni trop crue ni trop timide, mais *complice*—comme ces rayons du soleil qui percent les nuages après l’orage. Ici, pas de néons agressifs, seulement des bougies dont les flammes dansent sur les murs, projetant des ombres mouvantes, presque vivantes. L’air est lourd de parfums qui se répondent : la vanille chaude d’un encens ancien, la fraîcheur acidulée d’agrumes écrasés sur une peau nue, et cette touche de cuir… comme un souvenir de voyage, ou la promesse d’une aventure. Tu es allongé(e) sur des draps qui glissent sous tes doigts, soyeux et frais à la fois, et soudain, tu sens un souffle contre ta nuque. Pas un mot. Juste ce frisson qui te parcourt, parce que tu *sais*. Ce soir, les règles du monde extérieur n’existent plus.

Puis viennent les mains. Pas celles qui pressent, qui bousculent, mais celles qui *explorent*—comme un cartographe redécouvrant une terre oubliée. Un doigt trace le contour de ta clavicule, s’attarde sur la courbe de ton épaule, comme pour en mémoriser la géographie secrète. La musique ? Une mélodie lente, presque hypnotique, qui se love autour de vos mouvements, les rendant plus amples, plus profonds. Tes lèvres effleurent une peau salée, et c’est comme goûter à la mer après des années de désert : un choc, une révélation. *« Attends… »* murmures-tu, mais c’est déjà trop tard. Vos corps ont trouvé leur rythme, cette danse où l’un commence là où l’autre s’arrête, où chaque soupir est une réponse, chaque silence un dialogue.

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Léa, ce soir-là, a redécouvert quelque chose d’essentiel : le plaisir n’est pas une destination, mais un voyage. Un voyage où l’on se perd pour mieux se retrouver, où l’on ose enfin écouter cette petite voix qui chuchote *« et si… ? »* depuis trop longtemps.

Alors, à toi de jouer. Et si *ton* moment d’envie divine commençait maintenant ? Pas besoin d’attendre une étoile filante ou un coup de chance—juste un clic, un sourire, et l’audace de te laisser emporter. Parce que le paradis, parfois, c’est simplement *deux paires de mains qui se reconnaissent dans le noir*.

👉 **Et toi, tu attends quoi pour sauter le pas ?** *(Je t’attends de l’autre côté…)*


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