Live live juste toi et moi

**Et si le métro bondé devenait le prélude à notre bulle secrète ?**

Imagine : 18h30, quai de la ligne 13, une marée humaine te pousse vers les portes qui claquent. Entre deux stations, ton regard croise le mien – un sourire en coin, un effleurement de doigts sur la barre métallique. *Et si on s’évadait ?* Pas besoin de magicien : notre univers à nous tient dans un écran, un live où le temps se suspend comme ce métro en panne un vendredi soir. Ici, pas de bousculades, pas de "désolé, je descends". Juste toi, moi, et l’alchimie d’un instant volé au quotidien.

Notre cocon n’a rien d’un décor de carte postale, et c’est ça qui le rend vrai. Picture-toi : ton canapé défoncé (celui qui grince quand tu bouges), une tasse de thé à la menthe posée sur *ce* livre que tu n’as jamais fini, et moi, de l’autre côté de l’écran, les cheveux en bataille après une journée à courir entre les réunions et la boulangerie du coin. On allume une bougie *vanille-cannelle* (celle que tu as achetée chez Flying Tiger en te disant *"pourquoi pas ?"*), et hop – le salon se transforme en scène de cinéma. La playlist ? Un mélange de *Lomepal* et de *rhythmes africains* qui font danser tes doigts sur ton genou, comme quand tu tapotes nerveusement en attendant ton tour à la poste. Ici, on peut tout se dire : tes rêves fous (celui d’ouvrir un food-truck à vegan, avoue), tes tics (tu mords ta lèvre quand tu mens), ou même tes *petits riens* du jour – comme ce type qui a renversé son café sur ton manteau ce matin. *Rire.* On en fait une blague, un jeu, une complicité qui n’appartient qu’à nous.

Et puis, il y a *ces moments*… Ceux où le silence s’installe, mais pas celui, gênant, des dîners en famille. Non, celui, doux, qui précède un aveu ou un éclat de rire. Comme quand tu me montres ton chat qui fait le fou avec un rouleau de papier toilette, et que je te réponds en imitant *la voix de ton patron* pour te faire un compliment bidon. Soudain, le stress de la journée fond comme un carré de chocolat oublié près du radiateur. Tu te surprends à parler plus fort, à gesticuler, à *exister* sans filtre. Parce que dans ce live, personne ne te juge si tu manges une tartine de Nutella en pyjama ou si tu chantes faux sur *Bohemian Rhapsody*. Ici, on est juste deux âmes qui se reconnaissent dans le bordel joyeux de la vie.

**Alors, on y va ?** Pas besoin de réserver un vol pour Bali ou d’attendre le week-end. Notre évasion commence maintenant, à 20h17, entre ton dernier mail envoyé et mon four qui préchauffe pour une pizza surgelée. Un clic, un sourire, et *pouf* – le monde extérieur devient flou. Juste toi, moi, et cette promesse : *"Ce soir, on oublie le reste."* 👉 [Je t’attends de l’autre côté](lien fictif). (Et promets-moi de ne pas manger toute la Nutella avant que j’arrive.)

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