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Lorblanchet valse mlancolique

Lorblanchet   valse mlancolique

**Et si une simple valse pouvait faire voyager votre guitare à travers le temps ?**

Imaginez : un salon enfumé du XIXe siècle, une lampe à huile qui vacille, et des doigts glissant sur les cordes d’une guitare en acajou. C’est là, dans cette atmosphère suspendue entre nostalgie et douceur, que la *Lorblanchet valse mélancolique* a probablement vu le jour. Aujourd’hui, cette pièce sans auteur connu continue de hanter les partitions des guitaristes, comme une mélodie oubliée qui refusrait de s’éteindre. Mais qu’est-ce qui rend cette valse si envoûtante, au point de traverser les siècles sans prendre une ride ?

D’abord, il y a ce **rythme en 3/4 qui berce comme une barque sur un lac au crépuscule**. Contrairement aux valses viennoises, flamboyantes et virtuoses, la *Lorblanchet* murmure plutôt qu’elle ne danse. Ses notes filent comme des feuilles mortes emportées par le vent, avec des **modulations subtiles** qui donnent l’impression d’une confidence intime. Les guitaristes adorent cette pièce parce qu’elle est à la fois **techniquement abordable** (parfaite pour travailler les arpèges et le legato) et **émotionnellement profonde** – un rare équilibre qui en fait un terrain de jeu idéal pour exprimer sa sensibilité. Certains y entendent l’écho des bals populaires d’autrefois, d’autres la mélancolie d’un amour perdu… Et vous, quelle histoire cette valse vous inspire-t-elle ?

Puis, il y a ce **mystère qui l’entoure**. Aucune trace officielle de son compositeur, juste un nom – *Lorblanchet* – qui sonne comme un pseudonyme ou peut-être un clin d’œil à un lieu disparu. Les partitions circulent de main en main, parfois annotées de doigts usés par des décennies de pratique. Des versions en *ré mineur* (plus sombres) côtoient des adaptations en *mi mineur* (plus lumineuses), comme si chaque guitariste y déposait une partie de son âme. Certains l’interprètent en *fingerpicking* délicat, d’autres avec des accords pincés à la manière flamenco… **Et si c’était justement cette liberté qui en faisait une œuvre vivante ?**

Alors, prêt à laisser vos doigts raconter cette valse à leur tour ? Que vous soyez débutant en quête d’une pièce poétique ou confirmés à la recherche d’une nouvelle couleur pour votre répertoire, la *Lorblanchet* vous tend les bras. **Et si vous l’appreniez dès aujourd’hui ?** Commencez par écouter différentes interprétations (celles de *Romain Viala* ou *Thomas Viloteau* sont sublimes), puis saisissez votre guitare et laissez-vous porter. Qui sait ? Peut-être que votre version deviendra, un jour, celle qui inspirera les autres…

*👉 Partagez en commentaire : quelle émotion cette valse évoque-t-elle pour vous ? Ou mieux… envoyez-nous un enregistrement de votre interprétation !*


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