Secret divine juste toi et moi
**Et si le plus beau secret se cachait dans l’ordinaire ?**
Imagine : un mardi soir à Paris, entre deux stations de métro bondées. Tu presses le pas sous une averse soudaine, ton écharpe à moitié défait, quand soudain, *il* te retient par le bras sous un auvent de bistrot. Pas pour te parler de la pluie ou des grèves de la RATP—non. Juste pour te glisser, l’air de rien : *« Tu sais, ce café que tu bois tous les matins à la gare… Je l’ai remarqué avant même ton sourire. »* Un frisson te parcourt, plus fort que le vent glacé. Parce que dans cette ville où tout le monde se croise sans se voir, *lui* a choisi de te voir. Et d’un coup, le trottoir mouillé devient une scène de cinéma, le bruit des klaxons une bande-son lointaine. Il n’y a plus que ses yeux, ton souffle un peu trop rapide, et cette question muette : *Et si on inventait notre propre règle, juste pour ce soir ?*
C’est ça, le **secret divin**—ce moment où le quotidien bascule dans l’exceptionnel sans crier gare. Comme ce couple que j’ai croisé l’été dernier à Lyon, attablé dans un bouchon de la Croix-Rousse. Elle, les doigts enroulés autour d’un verre de Beaujolais, lui dessantin des motifs invisibles sur sa paume sous la table. Personne autour d’eux ne devinait qu’ils jouaient à un jeu interdit : *« Devine ce que je vais te chuchoter à l’oreille quand on sortira. »* Le serveur leur a apporté des grattons en riant de leurs éclats de rire étouffés, ignorant qu’ils vénéraient déjà leur propre rituel. Parce que le sacré, parfois, se niche dans un regard volé entre deux bouchées de quenelle, ou dans ce SMS envoyé à minuit : *« Je t’attends devant chez toi. Porte ce que tu avais hier… mais sans la ceinture. »* Pas besoin de châteaux en Espagne—juste un appartement sous les toits, une playlist mal choisie, et cette certitude : *ici, maintenant, nous sommes les seuls à connaître la suite.*
Alors, à toi qui lis ces lignes en souriant (ou en jetant un œil discret autour de toi) : **et si ton prochain secret commençait aujourd’hui ?** Pas besoin d’attendre une éclipse ou un voyage à Bali. Peut-être est-ce ce collègue qui te vole des stylos « par accident », cette voisine dont tu guettes la silhouette derrière la fenêtre éclairée, ou même ce inconnu du RER qui a osé te tendre un livre en disant *« Tiens, ça te ressemble plus que ton journal. »* Le divin, c’est cette étincelle que tu choisis d’allumer—ou d’éteindre. Alors, on la laisse brûler ? 🔥
*(P.S. : Si tu veux transformer l’attente en jeu, je t’attends [ici] pour écrire la suite. Juste toi, juste moi… et ce frisson qui n’appartient qu’à nous.)*
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